L’absence d’une réelle opposition qui serait à la fois organisée, structurée et porteuse d’un projet national de société ; car, il nous faut dire tout de suite ici, qu’une telle opposition est impossible à concevoir ni à constituer, sous le régime liberticide actuel, dont le caractère totalitaire exclut précisément toute idée d’opposition politique dont le projet de société pourrait entrainer une adhésion populaire massive comme ce fut le cas avec l’expérience du Front Islamique du Salut, aujourd’hui dissous.
il s’ensuit paradoxalement, que si l’écrasante majorité du Peuple est hostile à un régime biologiquement agonisant et moralement nauséeux et en pleine décomposition, il n’existe en face, pour donner un sens à ce rejet populaire du régime, aucun mouvement capable d’encadrer, d’agréger, de fédérer des flots de citoyens, en attente de participer concrètement à une résistance à la fois active et passive mais non violente, contre le pouvoir illégitime et corrompu en place. Si un clan symbolise aujourd’hui la corruption, l’autre clan et leur clique symbolisent le crime contre l’Humanité.
Tous auront à rendre des comptes. Et peut-être même ici-bas…….A en juger par la tournure que prennent les choses.
Il est du devoir impérieux de l’élite intellectuelle saine et propre, c’est-à-dire celle qui n’est pas à la soupe, de s’organiser dans l’urgence, en tant que Premier Cercle, pour débattre de ce qu’il y a lieu de faire pour le pays. Personne n’a le monopole du patriotisme, mais il n’est que grand temps de se manifester et de ne pas craindre de dire à la face des usurpateurs, civils et militaires, que l’Algérie n’est pas leur propriété.
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