Le cheikh Nahnah n’a pas besoin de reconnaissance (…). Il serait plus judicieux pour vous, M. Ouyahia, de lui demander pardon, écrit le vice-président du MSP sur le site web de son parti. Et d’ajouter crûment : «Vous savez bien, M. Ouyahia, que si les rapports de forces politiques dans le pays répondaient à la volonté du peuple, vous n’auriez certainement pas eu cette occasion pour parler du MSP.
Vous êtes le mieux informé des fraudes électorales des législatives et des communales de 1997 et vous êtes le mieux informé que cette même fraude sévit depuis l’ouverture politique qui a poussé les fervents partisans du changement à renoncer aux urnes.»
Vous êtes le mieux informé des fraudes électorales des législatives et des communales de 1997 et vous êtes le mieux informé que cette même fraude sévit depuis l’ouverture politique qui a poussé les fervents partisans du changement à renoncer aux urnes.»
Abderrezak Mokri n’a pas manqué de solder ses comptes politiques avec le Premier ministre en lui signifiant que «l’heure du changement a sonné et personne ne peut arrêter cette occasion». «Ceux qui pensaient que les Algériens sont en mesure de patienter une éternité, en observant des pays voisins donner du crédit à leurs élections, lutter concrètement contre la corruption et dont les peuples s’expriment plus librement, ceux-ci doivent se rendre à l’évidence que le changement viendra également concrétiser ces espoirs en Algérie», dit encore le vice-président du MSP, s’adressant au Premier ministre Ahmed Ouyahia.
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